Max Zajack, alter ego de Mark SaFranko, a une vie bien remplie, mais surtout, tout comme son créateur, il a eu une enfance.
Dieu bénisse l’Amérique parle de cette enfance. De ce fils d’immigré polonais, de la misère de son quartier, de son apprentissage souvent douloureux de la vie. Cette enfance va forger le caractère de Max. Il s’agit aussi d’une chronique d’une Amérique abandonnée, celle qui ne brillera jamais, cachée et oubliée des plus grands. A travers les yeux du jeune Max Zajack nous découvrons une Amérique des années 50 très loin du glamour que la télé veut nous montrer, où l’on ne souhaiterait pas vivre.
Son style d’écriture comparable à Céline, Fante ou Miller se veut volontairement cru et très visuel le tout rendant une œuvre hautement addictive.
396 pages
Éditions13e Note
Ted.