1/ Dashiell Hammett – La moisson rouge: Pour moi, c’est le roman qui a tout changé, qui a enterré les convenances, l’intrigue cousue de fil blanc et donné ses armes au genre (roman noir).
2/ Samuel Beckett – Molloy : j’adore le fait que ce roman soit divisé en deux parties distinctes et que chaque partie fasse écho à l’autre, c’est aussi un roman beaucoup plus drôle que ce qu’admettent les critiques.
3/ Katryn Davis – Duplex : Ce roman démarre comme une histoire classique en Amérique dans les années 50, mais très vite, elle va devenir extrêmement étrange. Une démonstration magistrale sur le mélange des genres.
4/ César Aira – Un épisode dans la vie du peintre voyageur : En apparence, un des plus simples romans de Aira mais il cache en réalité, une troublante étrangeté qui émerge rapidement.
5/ Antoine Volodine – Bardo or not Bardo : Volodine a écrit des romans plus complexes, mais ce que j’aime avec celui-ci c’est la façon dont l’auteur distille sa « Volodignité » (je souhaite que ce soit un mot) sept fois dans sept parties distinctes, chacune d’entre elles étant plutôt puissante.
Trad. Lucie & Ted