Dans Anatomique comme, la poésie d’Amandine André n’a jamais été aussi proche du corps. Ses phrases sont heurtées mais surtout nerveuses, décrivant au plus proche le corps de figures spécifiques. Elle parle de trois groupes de personnages qu’elle résume au début. Premièrement un « combat entre deux enfants quelque part en Amérique du sud, un chien, un double. ». Deuxièmement …
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