Paris, 1931. Hugo Cabret connaît la gare comme ses poches – pleines de vis, de ressorts et bien d’autres trouvailles – normal, il vit entre ses murs et y travaille. Depuis la disparition de son oncle, c’est lui qui s’occupe de régler les horloges du hall et des différentes galeries. À douze ans, il n’a plus que lui-même pour subvenir …
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