L’orchestre déboule par une porte latérale, comme un essaim portant tout un tas d’archers, de baguettes, d’anches. Il s’ordonne. Les cordes, d’abord, puis les vents et enfin viennent les percussions. Le public se glisse entre les fauteuils sauvés du désastre. Comme elle leur fait l’honneur d’être là, parmi eux, Magda prend tout son temps pour déplier le programme imprimé sur …
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