Max Zajack, alter ego de Mark SaFranko, a une vie bien remplie, mais surtout, tout comme son créateur, il a eu une enfance. Dieu bénisse l’Amérique parle de cette enfance. De ce fils d’immigré polonais, de la misère de son quartier, de son apprentissage souvent douloureux de la vie. Cette enfance va forger le caractère de Max. Il s’agit aussi …
Lire la suite »