Au cours de Prenez de l’ail et de l’argent, du sel et de la terre se trouve un chœur de personnalités évoluant au sein d’une architecture littéraire dédaléenne. On y croise le chat de Schrödinger devenu figure léonine, Attila en lui-même assorti d’un marin danois, tous deux éperdus de Sainte Ursule à plusieurs siècles d’écarts. Y progressent également un cartographe à peau de mappemonde et caractère vaporeux et son amoureuse Sybille, être polyforme changeant de sexe, de métier et d’histoire sans crier gare.
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