Ariadna Castellarnau avait fait forte impression en 2018, en France, avec la sortie de « Brûlées », déjà traduit par Guillaume Contré et publié par les éditions de l’Ogre. Un pari osé pour un livre respirant le souffre et le désenchantement dans un genre post-apocalyptique que n’aurait pas renié Cormac McCarthy ou encore Octavie E. Butler. Des comparaisons qui impressionnait pour un texte, qui du propre avis de …
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