Michel Jean s’efface et laisse la parole à Almanda, son arrière-grand mère, sa Kukum, dans ce récit qu’il est difficile de qualifier de roman. Sur près de trois cents pages, nous écoutons, comme si nous étions au cœur des bois, autour d’un feu chaleureux, la voix de cette femme quasi centenaire nous raconter son histoire fascinante, bouleversante, traversée de joies …
Lire la suite »