Dans le numéro 50 de la revue If, Liliane Giraudon répondait aux questions de Michaël Battala. Elle disait au détour d’une question ces mots : « Une vieille poétesse (ma génération) me faisait remarquer que certains de nos amis avaient bien fait de mourir car si « me too » débarquait au rayon poésie, ça risquait de déboulonner des statues. …
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