On ne peut pas mentir avec la mort ou la perte. Le temps du deuil est souvent celui d’une profonde sincérité, les larmes en témoignent. Écrire le deuil est un exercice délicat surtout lorsque l’on veut retenir le vivant comme le fait Marie de Quatrebarbes dans Les vivres. Elle écrit comme parlerait un enfant, dans toute sa clarté que l’on …
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