« Le vent était emprisonné. O. P. Le vent était un prisonnier politique. O. P. Mais le vent était toujours dans les champs, dans la rue, dans les cheveux d’une fillette ou sur les ailes d’une cigogne. Il traversait les cellules, sifflait à la pointe d’un fusil, rapprochait ou éloignait la sirène matinale d’une usine et en même temps grognait …
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