Il y avait un je ne sais quoi, une sorte d’univers, d’ambiance, un rythme, pourrions nous dire une musique tant qu’à faire, dans les précédents textes d’Emmanuel Ruben. Ce quelque chose, qui est difficilement nommable ou identifiable, qui avait cette saveur si particulière qui nous laissait supposer un grand auteur en devenir. C’était comme si ses précédents livres, excellent au …
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