Pour la Meute, il est Falco. Avec elle il n’y a plus de “Je”, il n’y a qu’un “Nous”. Crânes rasés, corps secs tatoués, ceux qui appartiennent à la Meute se nourrissent de la haine. Celle des autres, des plus faibles, des étrangers, comme pour mieux camoufler celle qu’ils ont d’eux-même et de la classe ouvrière dans laquelle ils grandissent. …
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