La “Grande Eau” s’étend à l’extérieur, alimente l’imagination indomptable des enfants derrière les fenêtres et le haut mur noir qui entoure l’orphelinat. Elle prend vie derrière les paupières fermées, se répand dans les veines, nourrit le cœur, illumine le regard, rend vivant. C’est un symbole d’espoir, un appel vers la liberté, un mirage auquel Lem et Isaac se raccrochent pour …
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